Dans un geste sans précédent, le Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Yaya Kairaba Kaba, a pris un arrêté retentissant, le numéro 710, annonçant la suspension immédiate de trois magistrats de la Cour de Répression des Infractions Economiques et Financières (CRIEF).
Les motifs avancés pour cette action drastique sont aussi graves que variés, mettant en lumière des lacunes professionnelles flagrantes, illustrées par un modus operandi diamétralement opposé aux lois en vigueur. De plus, l’arrêté souligne une violation manifeste des droits de la défense, marquée par l’exclusion totale de tout recours possible, en dépit des dispositions d’ordre public.
Selon les termes sans équivoque de l’arrêté, cette suspension n’est que le prélude à une procédure disciplinaire plus ample, impliquant la saisine du Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette démarche, conforme aux normes régissant le statut des magistrats, vise à rétablir l’intégrité et l’efficacité de l’institution judiciaire.
L’annonce de cette mesure d’exception a secoué les cercles juridiques et politiques, soulevant des interrogations quant aux circonstances exactes qui ont conduit à cette décision sans précédent. La publication du contenu complet de l’arrêté, sous forme d’un fichier PDF joint, promet d’apporter plus de clarté sur cette affaire captivante et controversée.
Ci-dessous copie de l’arrêté de suspension en PDF:
Aziz Camara