Ce mercredi 5 juin 2024, une atmosphère tendue enveloppait la salle d’audience du tribunal criminel de Dixinn, temporairement déplacé à Kaloum pour juger les événements tragiques du 28 septembre 2009. Les avocats du capitaine Moussa Dadis Camara, figure controversée de l’ancienne junte du CNDD, étaient sur le pied de guerre, prêts à faire valoir leurs arguments. Pourtant, la journée s’annonçait bien différente de ce à quoi tout le monde s’attendait.
Alors que l’audience allait débuter, une onde de choc parcourut la salle à l’annonce du décès de deux magistrats. Le silence oppressant qui suivit était lourd de tragédie et d’incompréhension. Ces nouvelles funestes ont plongé le tribunal dans une atmosphère sombre et imprévue, forçant un report inévitable de l’audience tant attendue.
Les visages des participants reflétaient un mélange de choc, de chagrin et d’incrédulité. Tout semblait figé dans l’attente de comprendre comment une telle tragédie avait pu survenir. Les regards se croisaient, échangeant des questions muettes sur le destin cruel qui avait frappé ce jour-là.
Alors que le tribunal se préparait à rendre la justice, le destin en avait décidé autrement. Maintenant, les regards se tournent vers la semaine à venir, dans l’espoir que la lumière puisse être faite sur cette affaire, malgré les tragédies qui ont assombri cette journée.
Restez à l’affût pour les derniers développements de cette affaire en évolution, car la quête de vérité et de justice se poursuit, même dans les moments les plus sombres.
Algassimou L Diallo