Le mouvement étudiant contre la guerre à Gaza s’intensifie sur les campus américains et canadiens. À la George Washington University, à Washington D.C., des étudiants ont érigé un campement pour dénoncer l’offensive israélienne à Gaza. Cette action survient après que la police a démantelé des campements similaires à l’université Columbia et à UCLA. Le campement de George Washington est pacifique, mais ses participants débattent activement de leurs revendications, y compris la fin des liens financiers entre l’université et les entreprises impliquées dans le conflit à Gaza. La maire de Washington, Muriel Bowser, a pris position contre le démantèlement du campement, malgré la demande de l’université.
Au Canada, six campements universitaires ont émergé pour soutenir la cause palestinienne. À l’université McGill, à Montréal, les étudiants demandent le désinvestissement des entreprises d’armement impliquées dans le conflit israélien-palestinien. Des campements similaires ont été établis à Toronto, Vancouver, et Ottawa, avec des revendications proches. Les autorités universitaires et la police surveillent de près ces mouvements, tandis que le Premier ministre Justin Trudeau a réaffirmé que les universités doivent rester des lieux de débat ouvert où chacun doit se sentir en sécurité.
Cette vague de protestations marque un engagement croissant des étudiants dans les enjeux internationaux. Les actions sur les campus sont suivies de près par les médias et suscitent des débats publics sur le rôle des universités dans les conflits mondiaux. Les autorités académiques, tout en prônant le dialogue, se retrouvent dans une position délicate alors qu’elles tentent de maintenir l’ordre tout en respectant la liberté d’expression.
Au Canada, six campements universitaires ont été érigés pour soutenir la cause palestinienne. À l’université McGill à Montréal, les étudiants exigent le retrait des investissements dans des entreprises d’armement liées au conflit. D’autres campements sont apparus à Toronto, Vancouver, et Ottawa, avec des revendications similaires. Les directions universitaires et la police observent la situation, tandis que le Premier ministre Justin Trudeau insiste sur le fait que les universités doivent rester des lieux de débat où chacun doit se sentir en sécurité.
Moussa Samoud